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 Le Bestiaire

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MessageSujet: Le Bestiaire   Le Bestiaire I_icon_minitimeMer 11 Juil - 12:23

Animaux citadins



Nom : Koara

Habitat naturel : Le Koara s’est naturellement installé en ville, où il trouve toujours une petite mitaine pour lui donner des graines ou des sucreries dont il raffole.

Indice de docilité : (1) Le Koara est sans doute l’un des animaux les plus sympathiques de cette fin de millénaire. Véritable peluche ambulante, il est une compagnie idéale pour les familles.

Indice de rareté : (1) En fait, il est plus rare de voir un Koara resté sauvage qu’un autre déjà adopté ; la grande majorité de ceux-ci étant issus des divers élevages dans les plus grandes villes - Modula et Islantis, entre autres. N’importe quelle animalerie exhibe aujourd’hui des koaras plus ou moins bien élevés.

Caractéristiques : En plus de leurs quatre pattes, les koaras portent une paire d'ailes d’oiseau accrochées à leur dos. Celles-ci leur permettent de voler à basse altitude - dix mètres - sur de courtes distances ... Et bien sûr, sans pouvoir porter plus que son poids.

Description : Mignons à souhait, les koaras sont les animaux les plus répandus dans les foyers d’aujourd’hui. Nullement agressifs, habitués à la compagnie des hommes et tout particulièrement des enfants ; leur petite taille les rend, de plus, facilement gérables- n'excédant pas les trente centimètres de hauteur. Leurs grandes oreilles leur permettent d'avoir une ouïe bien plus développée que celle d'un être humain.


Nom : Berserk

Habitat naturel : Les rares berserks encore sauvages sont des animaux des forêts ; la grande majorité sont citadins, assurant sans faiblir la fonction d’animal de compagnie.

Indice de docilité : (1) Inoffensif malgré son aspect sauvage, il s’avère être le compagnon idéal pour l’homme. Il aime particulièrement la compagnie des enfants.

Indice de rareté : (2) S’étant habitué à une vie citadine, aux côtés des hommes, il est très rare de voir des meutes de berserk sauvages. Contre toute attente, cet animal n'aime que les endroits dont les températures sont relativement extrêmes.

Caractéristiques : La caractéristique majeure du berserk est sans doute les cornes sur sa tête, qui peuvent lui servir autant à combattre qu’à l’aspect esthétique ; la forme et le « lustre » étant un signe de calme et de bonne santé chez l’animal.

Description : Son aspect loup - quoique plus petit, un mètre trente - a rendu le berserk très attrayant comme animal de compagnie, quoique plus contraignant qu’un Koara ; mais autant comme animal de combat, s’opposant assez facilement à un homme inexpérimenté avec sa morsure puissante et ses quarante kilos de muscles. On lui attribue aisément le vieux nom de meilleur ami de l’homme, pour sa fidélité exemplaire, suivant même le plus égoïste des maîtres.


Nom : Velocifen

Habitat naturel : Les Velocifen vivent en grands groupes dans les bordures de forêts et les grands points d’eau. La cascade de Sérégon est un lieu idéal pour les observer.

Indice de docilité : (2) Plutôt craintif à l’état sauvage, il s’habitue assez rapidement à la compagnie de l’homme, pour peu qu’il ne sente aucun danger.

Indice de rareté : (2) Si les Velocifen sont très nombreux à peupler les petits bois et la périphérie de Sérégon, il est très rare de les voir et encore plus de les approcher ; cela est dû à leur méfiance à l’égard des hommes, et des plus grandes créatures dont ils sont les proies idéales.

Caractéristiques : Les Velocifen possèdent une mémoire photographique, certes réduite à leurs sens - une vue monochromatique l’empêchant d’avoir un parfait souvenir -, qui leur permettent de se rappeler de leurs différentes cachettes et de distinguer leurs groupes, à l’état sauvage.

Description : C'est un petit animal light qui ne dépasse pas, en général, le genou d'un humain. On le reconnait entre mille par son pelage, confus de plumes et de poils, recouvert d'un agencement de teintes émeraude ; et à ses cris « sifflet », semblables à ceux d'un jeune oiseau. Véloces et endurants, les hommes s’en servent surtout pour porter des messages d’un point éloigné à un autre.


Nom : Locoloco

Habitat naturel : Le Locoloco vit à l’état sauvage dans les déserts et savanes, larges pistes de décollage improvisées ; même s’il n’est pas rare d’en voir en ville, utilisés pour tirer certains convoies.

Indice de docilité : (2) Un Locoloco ayant toujours vécu au contact des hommes se montrera très docile, vouant une fidélité sans égale au maître qu’il aura « choisi ».

Indice de rareté : (3) Rares sont les Locoloco qui sont restés à l’état sauvage, où ils souffrent de cette concurrence entre les mâles pour la nourriture. On les voit plutôt en ville, dans de grands élevages, où leur population est régulée selon le besoin des transporteurs.

Caractéristiques : Les ailes de cet oiseau, ceci dû à ses grandes tailles, ne lui servent malheureusement pas à voler. Cependant, il peut produire de légères bourrasques de vent dont il se sert, à l’état sauvage, pour intimider les ennemis.

Description : Le Locoloco semble s'attacher au doux rêve de voler parmi les nuages ; croiser un Locoloco tentant désespérément de prendre son envol n'est pas chose rare. En revanche, si ses ailes ne peuvent le porter - un poids de cent cinquante kilos pour trois mètres, ses pattes puissantes lui offrent une puissance de saut et de course conséquente, ce qui le rend très apprécié comme monture.

Animaux des plaines et des forêts [+ Wizard Mushroom]



Nom : Squwau

Habitat naturel : Les squwau peuplent de leurs groupes organisés les forêts ; mais plus particulièrement le Wizard Mushroom, où la magie est plus forte que n’importe où.

Indice de docilité : (2) Si les squwau ne ressentent aucun danger, à force de patience, ils peuvent se laisser apprivoiser ... Tant que cela ne met pas le groupe en danger.

Indice de rareté : (2) Les squwau sont, par nature, très timides, et vivaces ; si bien que malgré leur grand nombre, il est difficile de les apercevoir ; on les a, un temps d’ailleurs, surnommé les « fantômes masqués ».

Caractéristiques : La fumée verdâtre s’échappant des runes à son cou, produit de la magie ambiante, ne présente encore aucune toxicité pour l’homme, et lui sert surtout à se créer un écran lorsqu’un danger le menace.

Description : Les squwau justifient leur prudence par leur fragilité : à la naissance, les petits perdent immédiatement la peau qui recouvre leur crâne, si bien qu’ils sont très exposés. Ils restent en grands groupes toute leur vie, menés par un « Maître Squwau » - un parent, le plus souvent - auquel ils vouent une fidélité exemplaire, prêts à se sacrifier pour l’appétit du groupe. Un squwau atteint son âge adulte à cinq ans.


Nom : Skulldog

Habitat naturel : Le Skulldog est un habitué des plaines et des forêts en bordure des cités, où il trouve un espace de chasse très peu disputé. Pendant les hivers trop rudes, il arrive qu’il s’aventure dans la périphérie à la recherche de fonds de poubelle.

Indice de docilité : (2) Malgré sa carrure massive et son aspect menaçant, le Skulldog n'est en rien différent, dans son comportement, à un gros toutou ; c'est-à-dire qu'il adoptera un comportement plus ou moins paisible selon l'éducation qu'il aura reçu.

Indice de rareté : (3) De nature solitaire, le Skulldog tend à passer son temps dans les forêts à étendre son territoire, quitte à exclure ses « concurrents ». Il est par conséquent difficile à trouver dans ces espaces marqués - reconnaissables aux traces d’acide dans l’herbe.

Caractéristiques : Le souffle se dégageant de la gorge de cette bête à chaque expiration est relativement acide et peut causer de graves brûlures sur la peau - mais auquel il est naturellement immunisé. Le Skulldog s’en sert pour tuer ses proies à petit feu, d’où les larges bandes de terre sèche qu’il laisse dans les forêts où il vit.

Description : Descendant de certains canidés sauvages, le Skulldog possède un corps svelte et puissant semblable à celui d'un chien de course, le rendant donc particulièrement rapide. Le plus effrayant chez cet animal reste sans doute sa tête squelettique ; mais rassurez-vous de la fourrure se cache sous ce masque. En effet, il s'agit d'une substance comparable à celle formant les os du corps, ayant simplement « poussé » à l'extérieur de son corps, lui protégeant le museau.


Nom : Selang

Habitat naturel : Le selang peuple les coins obscurs des forêts et des villes, où il se crée de nombreuses cachettes. Il y a gagné son surnom de kleptomane.

Indice de docilité : (3) Malgré sa « passion » pour la nature humaine, il n’en reste pas moins un animal solitaire et indépendant, nocturne de surcroît ; et il est rare de le voir se laisser domestiquer.

Indice de rareté : (2) Ils sont très nombreux dans les profondeurs des bois, n’animant les villes que de leurs activités nocturnes. Il est en revanche difficile de les observer de jour, où ils se cachent de la lumière agressive du soleil.

Caractéristiques : Les yeux du selang sont pourvus d’une vision nyctalope, mais dépourvus de leurs paupières : en plus de les fragiliser au soleil - le rendant instantanément aveugle -, il lui est impossible de trouver le sommeil, ce qui en fait un excellent gardien des trésors qu’il a volé.

Description : Le Selang est une créature étrange, mesquine, qui prend plaisir à provoquer les personnes pour mieux s’en moquer. Un satyre animal, il est curieux de tout et possède une extraordinaire mémoire des formes. Les pattes avant du Selang sont d’ailleurs dotées d’un doigt préhensile dont il se sert pour saisir des objets. Il aime reproduire la gestuelle des êtres humains pour communiquer.


Nom : Nezuko

Habitat naturel : Les Nezuko vivent en groupes de cinq chasseurs dans les forêts humides qui entourent la ville de Sérégon.

Indice de docilité : (4) Le Nezuko peut considérer un humain comme son paternel mais, sauf dans de très rare cas, la vie sauvage le rappelle à l'ordre, et il peut finir par dévorer son ancien maître.

Indice de rareté : (3) Ceci est dû à leur faible reproductivité : pouvant procréer à l'âge d'un an, la gestation des petits dure treize mois, et la portée se limite à deux individus. Les populations de Nezuko sont d’ailleurs étroitement contrôlées par le Gouvernement.

Caractéristiques : La principale caractéristique du Nezuko sont ses paires d’yeux. La première lui permet de voir correctement sous un angle de 360° en mono couleur, tandis que la deuxième, en couleur, se concentre uniquement sur 180°, lui donnant ainsi une meilleure précision sur tout adversaire ou proie lui faisant face.

Description : De la grande famille des carnivores, de deux mètres cinquante de long (queue incluse) pour une hauteur d’un mètre, le Nezuko descend d’une branche commune des chats et des rats que les humains prenaient comme des animaux de compagnies. Usant de sa queue pour se balancer d’arbre en arbre, deux rangées de crocs, des griffes capables d’abîmer les métaux primaires ; l’animal n’y a pas volé sa réputation de chasseur hors pair.


Nom : Skael (Cobra)

Habitat naturel : Le skael de type Cobra, plus rare que son cousin, vit principalement dans les zones sombres et humides, notamment les forêts denses.

Indice de docilité : (4) Les skaels sont des prédateurs redoutables, exclusivement carnivores, naturellement agressifs ; ils n'ont pas peur de s'attaquer à des proies deux fois plus grosses qu'eux.

Indice de rareté : (4) Sortant exclusivement la nuit pour chasser ; les skaels sont peu nombreux et vivent isolés, ne se retrouvant que lors de rares périodes de reproduction dans des lieux qui sont jusqu'aujourd'hui inconnus.

Caractéristiques : Les skaels sont armés de pattes puissantes, terminées de griffes capables de passer tous les obstacles, et de crocs recourbés pour déchiqueter leurs proies. Comme leurs ancêtres serpents, ils ont également une mâchoire inférieure déboitée, afin d’avaler les proies que leurs « outils » n’auraient pas réussi à mettre en pièces.

Description : Un mètre soixante au garrot, une morphologie effilée finie d’une queue articulée faisant le double de l’animal ; les skaels sont le résultat non pas de l'évolution des serpentiformes, mais plutôt une régression, récupérant au fil des années les membres dont ils s'étaient débarrassés. Il existe plusieurs espèces de skaels : le type Python, vivant dans les montagnes rocheuses ; et le type Cobra, résidant dans les forêts humides.


Nom : Hayajing

Habitat naturel : Cette bête serait le gardien du Wizard Mushroom. Elle parcourt en continu son bois, et ce jusqu’à l’épuisement, pour y trouver un intrus.

Indice de docilité : (5) Il est naturellement impossible d’espérer dompter une créature qui demeure à l’état de légende vivante.

Indice de rareté : (5) Peu de gens peuvent témoigner d’avoir vu Hayajing, et comme toute créature légendaire, on la croit unique. Néanmoins, certains pensent que l’énergie du Wizard Mushroom serait suffisante pour plusieurs gardiens.

Caractéristiques : La pierre qui brille sur son poitrail est à la fois son cœur et son réceptacle de magie. Cette pierre de feu permet à l’animal de créer de l’énergie, dont il se sert pour émettre de la lumière pour communiquer et se repérer dans l’obscur sous-bois.

Description : En partageant les caractéristiques morphologiques d’un grand loup brun, cette bête légendaire du Wizard Mushroom a eu de nombreuses apparences, mais finalement, inspirant toujours la peur. Mais elle est d’abord une créature très intelligente, qu’on dit capable de reconnaître les bonnes intentions des mauvaises chez un homme, et ainsi de toujours assurer la sécurité de la magie ambiante dans la forêt.

Animaux du désert et des volcans [+ Canyon de Mala Muerte]



Nom : Bottow

Habitat naturel : Le bottow réside dans les zones désertiques, où il compense le manque d’eau par des viandes riches - comme celles des dromadaires ou des chameaux.

Indice de docilité : (2) Le bottow trouvant meilleur compte à se faire nourrir qu’à s’opposer à l’homme, les peuples nomades du désert s’en servent pour se déplacer, mais surtout pour porter des poids imposants.

Indice de rareté : (3) La masse du bottow, associée à sa peau brune, lui permet notamment de se camoufler dans les dunes pendant les journées lourdes, lui permettant d’économiser l’énergie pour marcher la nuit. Difficile de le voir en plein jour, donc.

Caractéristiques : Son corps porte de nombreuses plaques plus - sur sa tête - ou moins - le long de son dos - courbées, qui font l’effet d’un miroir ; le protégeant au repos des lourds rayons du soleil, mais aussi lui évitant de perdre trop d’eau lors des marches.

Description : Près de six tonnes de muscles véhiculés, près de quatre mètres au garrot, cette bête puissante, malgré son apparence pataude, peut courir aussi vite qu’un être humain. Quoiqu’impressionnant, il est totalement indifférent à l’homme et à ses congénères ; et est finalement, en d’autres circonstances que la chasse, un animal lent et tranquille. D’où la facilité que les nomades trouvent à s’en servir.


Nom : Smilodon Fogo

Habitat naturel : Le Smilodon est un familier des montagnes et des déserts, régions enclavées à l’abri des hommes. On en voit parfois aux alentours de Mala Muerte, guettant les charognes jetées par les maîtres d’arène.

Indice de docilité : (4) Si la puissance des Smilodon attire les « maîtres », ces animaux sont d’une nature sauvage et imprévisible, restant à l’écart de la présence des hommes ; ainsi, rares sont les Smilodon apprivoisés.

Indice de rareté : (3) Le Smilodon est en constante concurrence avec les autres pour les meilleures proies, et il vit ainsi seul ou en couple - au mieux - dans les cavités rocheuses. Il est donc difficile de le débusquer ... Et il vaut mieux d’ailleurs que cela reste ainsi.

Caractéristiques : L'extrémité de la queue du Smilodon est enflammée. Selon les scientifiques, cette flamme représente la vitalité du Smilodon. Aussi, plus la flamme est grande et colorée, plus la créature est puissante et en bonne santé. A l’inverse, une flamme ténue et bleutée est signe de vieillesse.

Description : Le Smilodon est un prédateur prodigieux, descendant des puissants félins d’Asie ; sa musculature hautement développée peut l'amener à peser pas moins de deux cent à deux cent cinquante kilogrammes pour une hauteur d’un mètre à un mètre dix au garrot. Autant dire que la bête a de quoi susciter une certaine crainte ... Bien qu’il ne se nourrisse pas de chair humaine fraîche, mais de cadavres ou d’animaux plus petits.


Nom : Khedis

Habitat naturel : Les khedis sont des familiers des volcans - de feu - et des canyons - dont la périphérie de Mala Muerte, où il arrive qu’ils se baladent pour chercher de la nourriture.

Indice de docilité : (3) De nature agressive, il ne provoque toutefois jamais directement les hommes, sauf si le manque des ses proies naturelles l’y contraint. On peut lui imposer un lien par la force, même s’il ne se montrera jamais aussi docile qu’un chien.

Indice de rareté : (3) Sans être rare, les khedis s’approchent rarement des villes et des hommes ; et seulement si la fatigue ou la faim le nécessitent. Il est donc difficile de les apercevoir, hormis en liberté, dans leur habitat naturel.

Caractéristiques : L’imposant revêtement sur son dos est formé d’une matière similaire, dans sa forme, à de l’acier ; il protège son épiderme, plus fragile, de la chaleur de son environnement. Ce qui n’est pas sans rajouter un poids supplémentaire qui le rend très lent.

Description : Cette créature d’un peu plus d’un mètre au garrot vit près des volcans éteints, se nourrissant de plus petits animaux voire d’insectes. Supportant les hautes températures et les poids lourds, on en voit parfois à Mala Muerte faire l’objet de paris, proches de l’ancien rodéo, voire combattre directement dans l’arène face à des hommes.


Nom : Dineasàr worm

Habitat naturel : Cette créature légendaire se déplacerait le long des failles sismiques, dans le sous-sol terrestre, ne surgissant qu’un temps, parfois, dans les zones sableuses.

Indice de docilité : (5) Il est naturellement impossible d’espérer dompter une créature qui demeure à l’état de légende vivante.

Indice de rareté : (5) Impossible de dire le nombre de ces animaux vivants encore dans la nature, le dernier spécimen retrouvé demeurant être un squelette partiel au musée d’Islantis.

Caractéristiques : Le déplacement de son corps massif suffit à déclencher de minuscules tremblements de terre. Son inspiration et expiration permet de mouvoir et de briser les matières les plus solides qui obstruent son unique cheminement.

Description : Créature légendaire du sous-sol terrestre (sable en l'occurrence), le déplacement de ses trente-cinq mètres d’anneaux peut provoquer de minuscules tremblements de terre. Malgré ses apparences de serpent, la rigidité de son squelette tient de celle du dinosaure - d’où son nom, à l’instar des tyrex d’une époque encore plus lointaine. On peut même lui apercevoir deux minuscules pattes arrières lui permettant de déplacer par vagues son corps massif.

Animaux des montagnes



Nom : Luxiel

Habitat naturel : Les luxiels vivent dans les plus hauts sommets, se déplaçant de montagne en montagne en petits groupes compacts.

Indice de docilité : (1) Cette créature, dépourvue de moyens de défense ou d’attaque, s’en trouve très facile à attraper, donc à apprivoiser.

Indice de rareté : (3) Leur rareté est due à leur faible longévité - en l’absence de prédateurs, toute leur vie ne repose que sur l’énergie que la luxiel produit et consomme en se déplaçant. La créature dépasse rarement les dix ans en la compagnie d’un magicien, et les vingt ans à l’état sauvage.

Caractéristiques : Les luxiels sont presqu’exclusivement constituées de pure énergie magique, qu’elles recréent en permanence. Elles servent souvent de « batterie » pour les magiciens, qui prennent garde à ne pas l’épuiser pour ne pas la tuer.

Description : La luxiel est une créature serpentiforme de la taille d’un chat, uniquement constituée d’un squelette rocheux ; qui a pour principale particularité d’être un réservoir de magie. Cette énergie, en plus d’être une empreinte unique pour son mage, lui sert à faire fonctionner ses deux ailes membraneuses pour se mouvoir dans les airs, et à répondre à toutes ses fonctions animales.


Nom : Lezahudo

Habitat naturel : La lezahudo vit dissimulée dans les régions boisées les plus escarpées, en bas des montagnes. Il est rare qu’elle change de territoire de toute sa vie.

Indice de docilité : (2) De sa nature passive et indifférente au contact humain, elle est assez facilement domesticable, tant qu’elle trouve dans son nouvel environnement de quoi se nourrir.

Indice de rareté : (3) Ceci vient surtout du fait que la lezahudo se dissimule volontiers dans le décor, ce qui la rend très difficile à trouver - du moins en mouvement. Rien ne peut forcer la tortue à se mouvoir, sinon le manque de nourriture.

Caractéristiques : Son armure ayant pris les attributs de son environnement au fil du temps, elle possède une étonnante faculté de camouflage, jusqu’à faire corps avec son habitat. La carapace vide d’une lezahudo est l’un des matériaux les plus solides sur Terre, mais peu flexible.

Description : Cette tortue de terre vit dans les régions boisées les plus escarpées, où elle se nourrit toute jeune des minéraux qui vont, au fil du temps, former sa carapace. Devenue plus lente, il n’est pas rare qu’elle passe plusieurs mois au même endroit, dévorant en cercle le sol autour d’elle avant de changer de coin ; et les plantes en viennent à pousser à l’intérieur même de son armure.


Nom : Skael (Python)

Habitat naturel : Le skael de type Python, le plus répandu, vit surtout dans les montagnes rocheuses, là où le climat est sec.

Indice de docilité : (4) Les skaels sont des prédateurs redoutables, exclusivement carnivores, naturellement agressifs ; ils n'ont pas peur de s'attaquer à des proies deux fois plus grosses qu'eux.

Indice de rareté : (4) Sortant exclusivement la nuit pour chasser ; les skaels sont peu nombreux et vivent isolés, ne se retrouvant que lors de rares périodes de reproduction dans des lieux qui sont jusqu'aujourd'hui inconnus.

Caractéristiques : Les skaels sont armés de pattes puissantes, terminées de griffes capables de passer tous les obstacles, et de crocs recourbés pour déchiqueter leurs proies. Comme leurs ancêtres serpents, ils ont également une mâchoire inférieure déboitée, afin d’avaler les proies que leurs « outils » n’auraient pas réussi à mettre en pièces.

Description : Un mètre soixante au garrot, une morphologie effilée finie d’une queue articulée faisant le double de l’animal ; les skaels sont le résultat non pas de l'évolution des serpentiformes, mais plutôt une régression, récupérant au fil des années les membres dont ils s'étaient débarrassés. Il existe plusieurs espèces de skaels : le type Python, vivant dans les montagnes rocheuses ; et le type Cobra, résidant dans les forêts humides.

Animaux des « zones mortes » [+ Area 102]



Nom : Dvi Galseau

Habitat naturel : Ces oiseaux à deux têtes sont des familiers de l’Area 102, où les nomades les élèvent couramment pour envoyer des messages d’un bout à l’autre de la plaine.

Indice de docilité :
(2) Le Dvi Galseau se laisse facilement prendre par la main de l’homme, pour peu qu’il n’y sente aucune tension ... Et que les deux têtes déséquilibrées y trouvent leur compte.

Indice de rareté : (3) Le Dvi Galseau est habitué aux longs vols, parfois de plusieurs jours, ne se posant sur les terres que pour parcourir les plaines arides, à la recherche d’herbe raréfiée à arracher.

Caractéristiques : Ses ailes sont dotées d’une seconde couche de plumes mauves, chargées au soleil de magie blanche pure, souvent utilisées dans certaines vieilles alchimies.

Description : Petit oiseau doré autant aérien que terrestre - avec des pattes puissantes pour marteler le sol -, le Dvi Galseau a pour principale distinction ses deux têtes. Chacune est pourvue de sa propre conscience ; et bien qu’elles doivent coordonner les mouvements de chaque côté du corps du volatile, il n’est pas rare de les voir en désaccord, voire de se battre jusqu’à la mort.


Nom : Aqlay

Habitat naturel : Les aqlays résident exclusivement dans les zones chaotiques de l’Area 102, où ils sont les montures privilégiées du sadique peuple Kileash.

Indice de docilité : (4) Les aqlays sont domesticables, du moins pour qui appartient à la race des Kileash, seul peuple à connaître les secrets du dressage de ces bestioles. Très dociles envers les personnes du sexe féminin, un homme montant un aqlay correspond à un nouveau héros.

Indice de rareté : (4) La plupart des aqlays étant élevés domestiqués par les guerrières Kileash, il n’en reste que très peu à l’état sauvage - décomptés à une cinquantaine d’individus.

Caractéristiques : Ses deux pinces sont capables de sectionner un être humain ou mécanique en deux, tandis que sa mâchoire peut facilement transpercer la peau de quelques espèces animales, dont les hommes.

Description : Les aqlays sont des créatures descendant à la fois des insectes, en particulier de la mante religieuse, et de certains de nos rapaces, qui lui donne sa taille de cheval - les plus grands atteignant trois mètres de haut ; redonnant un air préhistorique à l’animal. Ils sont connus comme étant parmi les créatures les plus craintes de l’Area 102, notamment parce qu’elles sont les montures privilégiées de sa plus dangereuse tribu - les Kileash.


Nom : Drake noir

Habitat naturel : Le drake noir aime à s’abriter dans les endroits désolés : les profondeurs des volcans de l’Area 102 ou les ruines des cités, où la terre béante s’ouvre à eux.

Indice de docilité : (5) Il s'agit sans exagérer des démons les plus vils. D'un caractère malveillant, les drakes noirs sont impossibles à dompter, peu importe la nature de la rencontre. Si celle-ci ne détale pas, elle finira réduite dévorée si ce n'est changée en cendre bien fumante.

Indice de rareté : (4) On ne compte qu’une dizaine de drakes sur toute la surface du globe, dans des zones interdites plus ou moins étroitement surveillées par le Gouvernement. Mais de toute façon, trop rares sont les témoins qui sont revenus contredire ces données ...

Caractéristiques : Leurs flammes sont produites à partir de la lave dont ils s’abreuvent, conservées à l’intérieur d’un second estomac ; ce souffle arbore une teinte proche de la suie.

Description : Le drake noir est une créature crainte et détestée. Bel et bien carnivores, ils se nourrissent de tout ce qui est vivant et à portée, jusqu'à considérer leurs rares congénères comme des proies. Avec une taille de douze mètres de long, et un poids estimé dans les dix tonnes ; même les plus jeunes savent des contes qu’on ne plaisante pas avec le bien nommé « dragon maléfique ».

Animaux des Volcans de Glace



Nom : Marshel

Habitat naturel : Le surnommé « rat des neiges » fait partie des rares créatures à peupler les bases des volcans de glace, et les régions glacières hostiles qui s’étendent autour.

Indice de docilité : (2) D’un naturel craintif et passif, il est néanmoins facile à apprivoiser ; pour peu qu’on ait la patience - et les moyens - de l’ôter hors de son habitat naturel.

Indice de rareté : (1) Le marshel ne trouve que très peu de prédateurs naturels ; ce qui fait que sa population croît plus qu’elle ne diminue, et ce, malgré les conditions difficiles de son environnement.

Caractéristiques : Son pelage ordinaire est couvert d’une fine enveloppe translucide, qui attrape et fixe sur son corps les différentes particules en suspension dans l’air - notamment les flocons et la poussière - afin de lui donner un renfort de chaleur. Il peut s’en dégager d’un ébrouement, créant en général des paquets brumeux qui lui servent à distraire une ombre et à s’enfuir lorsqu’il se sent menacé.

Description : Ce rat des neiges, à la hauteur de la jambe humaine - de cinquante centimètres à un mètre -, est l’un des animaux les plus courants, si l’on peut dire, dans les plaines glacées autour des mêmes volcans ; où il est chassé par les peuples nomades pour sa viande et pour sa peau - à l’instar de son cousin antique, le phoque. Le marshel est un animal nomade, suivant la poussé des plantes arctiques et la migration des petits oiseaux dont il peut se nourrir.


Nom : Kiimefli

Habitat naturel : Le kiimefli vit dans les flancs troués de volcans éteints et de la banquise, où il creuse en groupes de gigantesques cavernes glacées comme nids.

Indice de docilité : (2) Le kiimefli est un oiseau actif et confiant, facile à apprivoiser. Intelligents, ils ne s’approchent néanmoins pas aussi aisément, et tendent à se disperser dès les premiers pas d’hommes s’ils n’y reconnaissent pas une ombre familière.

Indice de rareté : (1) Etant le seul représentant aérien des animaux de banquise, le kiimefli ne se trouve pas en conflit de nids avec d’autres espèces moins sociables ; il est particulièrement fréquent de croiser des formations entières de ces faucons argentés frôler les épaisseurs de neige.

Caractéristiques : La cristallisation dans leur plumage, une seconde couche de plumes protectrice, leur permet de donner des impulsions supplémentaires à leur vol, ce qui lui permet ainsi de se creuser un cheminet, et un nid, dans les plus épaisses parois de glace.

Description : Le plus petit oiseau du monde - qui tient sur un pouce, pour sept à dix centimètres - vit « en famille » sur les flancs des volcans de glace, agrandissant le nid en véritables réseaux d’année en année. Les kiimefli, particulièrement endurants, dû à leur mode de vie drastique dans le froid ; sont les messagers des voyageurs et des peuples nomades, y gagnant en retour la protection face à leurs rares prédateurs, et une nourriture.

Animaux aquatiques [+ Océans et Islantis]



Nom : Poissoreuil

Habitat naturel : On trouve les poissoreuils dans les forêts, près des points d'eau, où ils se nourrissent d'insectes et de plus petits poissons.

Indice de docilité : (2) Malgré sa docilité, le poissoreuil reste un animal très peu populaire, et quelques laboratoires n'hésitent pas à s'en servir comme cobayes.

Indice de rareté : (3) Si l’espèce des poissoreuils a perduré, le peu de poissoreuils recensés par les associations animalières incitent à les classer comme espèce protégée. Un grand nombre de décès sont dus à leurs poumons trop peu développés.

Caractéristiques : Les poissoreuils, bien qu’ayant été conçus pour avoir une endurance exceptionnelle sur terre comme en eau douce, n’ont gardé aucune caractéristique particulière pour leur survie - sinon un aspect particulièrement dérangeant.

Description : A l’origine une expérience dans le but d'obtenir un mammifère arboricole et aquatique, les poissoreuils, compte tenu de leur totale inutilité - n’ayant aucune caractéristique profitable - furent laissés dans la nature. Si sa tête ressemble à celle d'un poisson, il s’agit bien d’un mammifère : son faciès est recouvert d'une peau épaisse, et sa bouche est garnie de petites dents pointues ; avec sa longue queue touffue, il atteint une trentaine de centimètres.


Nom : Magmaconda

Habitat naturel : Le magmaconda se trouve principalement dans les profondeurs de la mer. Une petite partie est notamment répertoriée près d'Islantis.

Indice de docilité : (4) Ne quittant presque jamais les profondeurs dans lesquels il a élu domicile, il ne se soucie que trop peu de la présence humaine - sous la forme de bateaux et d’une certaine ville engloutie sous dôme.

Indice de rareté :
(4) Le magmaconda ne quitte que très rarement les profondeurs, et ceci pour « réactiver » le magma en lui. Seule la population d’Islantis - une trentaine d’individus - est précisément mesurée.

Caractéristiques : L’intérieur de son corps est principalement constitué de pur magma. Si, dans les profondeurs, celui-ci est refroidit et devient grisâtre ; en surface, il devient brûlant et crée ce qui ressemble à des éruptions sous-marines.

Description : Le magmaconda tient son nom de son corps reptilien, terminé de tentacules unies en une masse ; ses quatre pattes filandreuses ne lui servant pas à se mouvoir, mais plutôt à se dégager des fonds marins par à-coups. S’il fait la taille d’un dauphin, il est en revanche très lourd, ceci dû au magma figé dans son corps, et donc aussi lent que pourrait l’être une baleine.


Nom : Ludroth (Femelle)

Habitat naturel : Les ludroth vivent en grands « harems » en proximité des points d’eau ; la cascade de Sérégon est un lieu idéal pour les observer.

Indice de docilité : (4) Les ludroth ne provoquent pas délibérément l’homme, mais restent cependant un danger potentiel si elles ressentent la moindre menace pour le « harem ».

Indice de rareté : (4) Un « harem » de ludroth se compose de quatre ou cinq femelles et d’un mâle, le Royal ; ces harems sont en constante concurrence avec les autres pour leur agrandissement, et ne se partagent ainsi pas leurs territoires.

Caractéristiques : Les ludroth possèdent quelques écailles spongieuses sur le cou qui leur permettent d’emmagasiner de petites quantités d’eau - ce pourquoi elles restent en permanence près des plans d’eau. Elles ne peuvent pas s’en servir pour attaquer, donc se servent de leur queue plate, couverte d’aiguilles, pour frapper.

Description :
La ludroth est un reptile amphibie particulièrement violent, n’hésitant pas à se battre aveuglément contre tout ce qui lui tient tête. Elle n’a d’ailleurs pas à rougir de sa puissance : une taille de dix mètres pour un poids sur terre avoisinant les trois tonnes ; si elle reste plus faible que le Royal, mâle, elle peut facilement tenir tête à un groupe armé entier. En une vie tranquille, elle peut atteindre les cent soixante ans.


Nom : Ludroth Royal (Mâle)

Habitat naturel : Le Ludroth Royal vit avec son « harem » en proximité des points d’eau ; la cascade de Sérégon est un lieu idéal pour l’observer.

Indice de docilité : (5) Le Ludroth Royal attaque sans distinction tout ce qui représente un danger plus ou moins mesuré pour son « harem », qu’il défendra jusqu’à la mort.

Indice de rareté : (4) Le Royal étant le seul mâle d’un harem de quatre ou cinq femelle, harem en constante concurrence avec les autres, il est naturellement plus rare. Dans une portée de ludroth pouvant aller jusqu’à dix œufs, il y a rarement plus d’un Royal.

Caractéristiques : Les écailles spongieuses sont devenues une collerette, emmagasinant de plus grandes quantités d’eau, qu’il expulse pour surprendre son adversaire et, si nécessaire, prendre la fuite. En effet, en se « déchargeant », il se déshydrate, et doit impérativement regagner un point d’eau proche.

Description : De treize à dix-huit mètres de longueur, près de sept tonnes dont une concentrée à sa seule collerette : longue vie au roi ! Le ludroth est particulièrement intéressant à chasser, du fait de cet attribut spongieux unique qu’il porte, mais surtout pour le challenge que cela constitue pour qui veut se mettre à l’épreuve.


Nom : Béhémot

Habitat naturel : Les béhémots vivent près de n’importe quel plan d’eau desquels ils tirent avantage

Indice de docilité : (5) Le béhémot est sans doute l’un des animaux les plus violents, qui n’hésite pas à provoquer les hommes pour prouver sa force ; et donc strictement impossible à dompter.

Indice de rareté : (4) De par leur nature violente et solitaire, ils n’hésitent pas à se battre entre eux et tendent aisément à se confronter à adversaire plus fort qu’eux. On recense moins d’un millier d’individus, en constant mouvement le long des passes d’eau.

Caractéristiques : Cette créature est capable de se fondre dans l’eau et leurrer les humains grâce à ses crêtes à forme de nageoires. Il peut aussi envoyer un individu dans les airs par le biais de ses cornes.

Description : Le caractériel béhémot est un animal bougon, mais assez intelligent pour se mesurer d’égal à égal avec un mage, du haut de son mètre cinquante. Ses cornes sont indicatrices de son caractère : plus celles-ci sont longues et droites, plus il est passif ; au contraire, un béhémot avec des cornes usées et recourbées sur elles-mêmes tend à se confronter à tout ce qui se dresse sur son chemin.

Animaux (presqu'exclusivement) aériens



Nom : Serpent des vents

Habitat naturel : L’expression « Le ciel est son domaine » prend tout son sens, puisqu’il ne se pose jamais à terre ; ne la survolant que pour attraper au vol les insectes dont il se nourrit.

Indice de docilité : (3) Nullement agressifs, ils sont en revanche particulièrement craintifs ; et ne quitteraient pour rien au monde leur domaine presqu’exclusif céleste. Il est presque impossible d’amener un serpent des vents à narguer le sol.

Indice de rareté : (2) Si on ne voit jamais un serpent des vents se poser à terre, il n’est pas rare d’en voir des groupes entiers exécuter une véritable parade aérienne à travers les nuages.

Caractéristiques : Ses ailes, surdéveloppées par rapport au reste de son corps reptilien, lui permettent de planer sur de très longues distances ; le battement d’ailes ne leur sert alors qu’à reprendre de l’altitude, et leur queue leur fait office de gouvernail.

Description : Avec des ailes disproportionnées avec le corps, dont l’envergure atteint les deux mètres maximum pour une longueur du corps très variable, il appartient au rang de volatile. Ce reptile volant n'a finalement rien de ressemblant avec un serpent si ce n'est son aspect longiforme (?), dépourvu de pattes. Il agite continuellement ses ailes pour léviter et dessine des cercles dans l'air pour communiquer avec les autres de son espèce.


Nom : Hydril

Habitat naturel : L'hydril est l'un des nombreux volatiles peuplant cette terre. Vivant la plupart du temps en groupe, il voyage ainsi aux quatre coins du monde, préférant toutefois les endroits chauds et les climats tropicaux.

Indice de docilité : (4) Entrant rarement en contact avec les humains, il faut un lien mental entre la créature et l'humain pour qu'ils s'entendent. C’est bel et bien la bête qui choisit de s'associer avec son futur maître, s'il l'en juge digne.

Indice de rareté : (4) Si le lien entre un couple d’hydril est très fort, le mâle s'adonne à une parade nuptiale qui donnera plus tard lieu à un seul et unique œuf, unique descendant ; il se peut aussi qu’un mâle finisse sa vie sans descendance. C’est une des causes de la rareté de cette créature.

Caractéristiques : D'une intelligence rare, l’hydril est capable d'utiliser la magie grâce à la crête au dessus sa tête, qui canalise les flux magiques pour les transmettre directement à son cerveau. Cette magie est ensuite utilisée pour permettre à l'oiseau de communiquer uniquement par la pensée avec d'autres êtres. Dans certains cas, il est également possible pour la créature de transmettre ce qu'il voit ou de puiser dans la mémoire.

Description : Atteignant à l'âge adulte seulement trente centimètre au garrot et une envergure d'environ un mètre, l’hydril est surtout connu pour la combinaison de poils et de plumes aux couleurs enchanteresses qu’il arbore. L’hydril survole le monde dans un groupe mené par un Kalhydril, descendant en piqué ramasser fruits, graines, carcasse d'animal mort, insectes dont il fait ripaille.

Il existe bien d'autres animaux dans le monde d'Alternative Future, il ne vous reste qu'à les imaginer !

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