Le bruit des voyageurs arpentant les pavés de la gare à l'arrivée de l'Xpress désormais loin derrière, un sentier s'élève vers les hauteurs. La douceur du vent effleurant la peau comme une caresse, mêlée aux senteurs particulières d'iode, vous gravissez cette pente. Au bout de quelques minutes à peine, une arche se dessinera sous vos yeux. Passé cette arche, Hydrea s'offre à vos yeux, vos oreilles envahies du son inlassable des vagues s'échouant sur les falaises, votre nez pris par ces odeurs marines. Le soleil pointant au zénith, miroitant sur les innombrables structures de verre et d'acier, dressées vers le ciel azur, vous découvrez cette nouvelle cité. Vos valises et celles de votre compagnon déposées à l'hôtel, les yeux plissés pour protéger vos iris du feu ardent éclairant la ville, vous arpentez les rues, curieux de découvrir. Construite à même les falaises, la ville semble plonger en pleine mer. Arrivés au bout de la cité, vous ne manquez pas de vous arrêter de longues minutes devant ce panorama : l'eau à perte de vue, brillant de milles feux sous la langoureuse caresse de l'astre solaire. Calme olympien. Soudain sur votre droite, un endroit attire votre regard. Sable brûlant léché par les vagues roulantes, une longue plage s'étire, accueillant déjà quelques bronzeurs et cris d'enfants. Ces vacances improvisées promettaient quelques belles surprises...

Bienvenue à Hydrea !